La réputation d’une entreprise peut aujourd’hui représenter jusqu’à 20% de sa valeur. A l’ère du numérique et de sa communication massive, instantanée, cet enjeu réputationnel concerne aussi l’individu — comme l’illustre la récente reconnaissance du « droit à l’oubli numérique ». Malgré cela, les grands principes du droit de la presse et des médias sont d’une stabilité remarquable : c’est toujours la loi du 29 juillet 1881 que l’on applique pour concilier liberté d’expression et protection des personnes ou des entreprises.

Nous intervenons aussi bien pour les organes de presse que pour des personnalités ou des entreprises. Qu’il s’agisse d’atteinte à la présomption d'innocence, de préservation de la vie privée et du droit à l'image, de diffamation — publique ou dans le cadre des relations sociales dans l’entreprise…

Nous maîtrisons ainsi les techniques propres à cette discipline impliquant le plus souvent d’intervenir très rapidement, en raison d’un délai de prescription raccourci ou de la nécessité d’engager des procédures d’urgence aux fins de retrait ou de constat.